Deux matelas par terre dans la petite chambre surchauffée. Deux mecs s'avancent, deux gaillards autour du 1m90 et des 90 kg. Lui est un peu plus petit que moi, 4 à 5 cm, mais il pèse bien 5 kg de plus. Je suis poilu et plus mince, lui imberbe et un peu plus enveloppé. Mais on voit bien que sous sa peau glabre saillent des muscles développés par une longue pratique de l'aviron. L'adrénaline est à son comble. On n'a même pas pris le temps de se parler, il vient juste d'arriver et on se déshabille tous les deux à toute vitesse. Moi j'ai déjà mon singlet sous mon t-shirt et mon jean, lui l'enfile en vitesse. Nos tenues de lutte sont exactement les mêmes, bleu de France, même marque, même échancrure sur les hanches. On rigole : "c'est internet, dit-il, on a commandé les mêmes". Ca y est on est prêts tous les deux, les pieds nus sur le matelas, courbés en avant on se prend les bras sur les épaules et chacun essaye de faire tomber l'autre à terre. On se jette littéralement l’un sur l'autre comme deux morts de faim. Il est diablement fort et je me retiens en trouvant un point d'appui providentiel contre un meuble à côté du matelas. J'évite la chute. Nos muscles sont bandés dans l'effort. Je réussis à passer mon bras autour de son cou et je serre . J'appuie sur sa tête et réussis à le mettre à terre, son corps sous le mien, il me serre avec ses bras pour m'amener au sol mais je serre son cou encore plus fort. Je sens son crâne rasé, ses cheveux courts , et sa barbe qui me grattent. Je prend sa tête dans mes bras. Nos muscles et nos membres s'épousent. Il tente d'enserrer mes jambes dans les siennes et je résiste. Je ne lâche pas ma prise autour de son cou et je serre. Je ne le lâche pas. Il commence à souffrir. J'échappe à ses cuisses puissantes. Il est sous moi et je le tiens avec mon bras enroulé autour de son cou qui serre et ne le lâche pas comme dans un étau. Je n'arrive plus à respirer. Lui non plus. J'essaye d'un mouvement brusque de prendre sa tête entre mes jambes mais il m'échappe. Je réussis à replacer mon bras autour de son cou et à l'étrangler. Je tiens son corps sous le mien, enserré dans mes jambes. Je sens sa bite gonfler sous le singlet contre la mienne. Je la caresse et la triture à travers sa tenue de lutte. Il tape enfin au sol. 1-0. On reprend notre souffle, accroupis, nos fesses sur nos talons, l'un en face de l'autre. On reprend le face à face, courbés, tendus l'un contre l'autre, à genoux. Cette fois il prend le dessus, il m'allonge au sol et monte sur mon corps, il me bloque avec ses deux genoux sur mes épaules et ses bras tendent les miens au sol. Il monte encore d'un cran, je sens sa bite et ses couilles à travers son singlet contre mon visage. Je ne peux plus respirer. Il enlève le haut de son singlet et sort sa bite, énorme, pour m'en frapper le visage. Il descend aussi mon haut de singlet. Il me pince les tétons et me branle d'une main tandis que je ne peux plus bouger sous son poids. Je n'arrive pas à respirer et tape au sol pour abandonner. 1-1. On se sépare et on reprend nos souffles. Il se déshabille à la hâte et j'en fais de même jetant mon singlet en boule à proximité. On est tous les deux complètement à poil et luisants de sueur, essoufflés par l'effort. On reprend notre calme et l'on se jette tout à coup, nus, l'un contre l'autre. Là c'est une débauche de muscles, de force, de sueur, de prises, d'étranglements, de pincement de tétons, de serrage des boules dans la main, de branlage mutuel, nos corps roulent l'un sur l'autre, on passe de la lutte brutale à l'étreinte sensuelle, de la domination à la soumission, les rôles s'intervertissent, les doigts rentrent dans les culs, il me force à avaler son énorme bite et et à sucer ses grosses couilles et son trou du cul. Mais je m'assois aussi sur son visage et sa langue fourre mon trou pendant que je coince sa tête entre mes cuisses serrées. On se donne quelques coups dans le ventre et les côtes. On se serre et s'enlace. Il finit assis au-dessus de mon torse et se branle frénétiquement sur ma poitrine. Sa semence gicle dans les poils de mon ventre. La bataille a été formidable. La concentration de la bagarre m'a fait débander. Dans la pièce, flotte un parfum de sueur et de sperme. Deux alphas cherchant à prendre le dessus. Deux corps en rut, deux mâles de force et de gabarit à peu près similaires. Un plaisir immense à se mesurer ainsi à égalité. Il part à la douche et je le suis. Lorsque je sors de la cabine il est déjà habillé. On parle enfin un peu et puis il s'en va. J'espère bien un jour recommencer cette bataille virile d'égo, de puissance, et de muscle.

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Editado últimamente el 09/12/2022 21:27 por Frenchwrestler31
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